Le jubilé ADLES : la durabilité dans l’enseignement des langues étrangères

L’Association ADLES (Association en didactique des langues étrangères en Suisse) fête cette année son dixième anniversaire et a convié ses membres à une « séance thématique » spéciale à la HEP de Lucerne. L’événement a commencé par une conférence de la professeure Britta Viebrock (Université Goethe de Francfort, en Allemagne) qui a proposé une analyse critique du concept de durabilité dans le contexte de l’enseignement des langues étrangères, mettant ainsi ses potentiels et ses limites en évidence. Les participant·e·s· ont ensuite discuté du sujet dans divers lieux lucernois en lien avec la thématique de la durabilité, sous forme de parcours à postes. L’événement s’est terminé par un dîner composé de produits régionaux et saisonniers, dans un esprit de durabilité.

Présentation de l’ADLES (Association en Didactique des Langues Etrangères en Suisse) [Entretien]

L’ADLES est l’Association pour la didactique des langues étrangères en Suisse. Fondée en 2014 à l’occasion de la Journée internationale des langues, elle s’engage à promouvoir et développer la didactique des langues étrangères à tous les niveaux scolaires ainsi que dans l’éducation des adultes. ADLES offre une plateforme d’échange d’idées et de bonnes pratiques. À l’occasion du 10e anniversaire, Linda Grimm (PHSG), présidente de l’ADLES et didacticienne du français à la Haute école pédagogique de St-Gall, nous présente, dans ce court entretien, les développements, les intérêts et les objectifs de l’association.

La didactique des langues en Suisse : Wo stehen wir heute?

Plus de 70 participant·e·s se sont reuni·e·s pour une journée d’étude dédiée à la didactique des langues (étrangères) en Suisse et donner des impulsions pour l’avenir sous des températures estivales. Organisée par la HEP Vaud et la PHBern , cette journée multilingue comprenait une conférence plénière, des tables rondes thématiques avec des invité·e·s, ainsi qu’un large espace pour favoriser les échanges.
Découvrez le retour sur cette journée d’étude par la co-organisatrice Martina Zimmermann.