Présentation du cycle de conférences 2024-2025 « Artefacts dans l’apprentissage des langues »

Pour l’année 2024-2025, l’Institut de plurilinguisme de Fribourg en collaboration avec le CeDiLE propose une nouvelle série d’événements ! 6 présentations, accompagnées d’ateliers-flash, qui porteront sur la thématique des « Artefacts dans l’apprentissage des langues ».

Des mots qui font école ? f) Maturité [Podcast]

Partant du sens littéral du titre de formation ‘maturité’, on peut se demander ce que signifie exactement ‘être mûr·e’ ? Le
concept de maturité peut-il s’appliquer aux compétences linguistiques ? Comment les épreuves de langue sont-elles
préparées en vue de l’examen final et existe-il une cohérence verticale entre les objectifs de ces épreuves et les défis de
la future vie académique/professionnelle des élèves ? Comment le paysage éducatif national est-il influencé par le fait que
le développement et la définition des objectifs pour les examens de maturité, y compris les épreuves de langue, se font au
niveau cantonal ?

Des mots qui font école ? e) Évaluation [Podcast]

L’école est un lieu où l’on apprend, mais elle peut être aussi un lieu où l’on peut refuser d’apprendre. Quels sont les facteurs sous-jacents au rejet de l’apprentissage des langues ? ‘Mettre de côté’ une langue, même là où le plurilinguisme est un atout, peut-il être considéré comme une life-skill (« je ‘sélectionne’ mes objectifs linguistiques pour mon propre avenir ») ? Comment gérer la tension qui peut résulter de l’écart entre une nécessité didactique ou un désir d’inclusion linguistique de la part de l’école et les sensibilités individuelles des apprenant·e·s ?

Des mots qui font école ? d) Action [Podcast]

L’école est un lieu où l’on apprend, mais elle peut être aussi un lieu où l’on peut refuser d’apprendre. Quels sont les facteurs sous-jacents au rejet de l’apprentissage des langues ? ‘Mettre de côté’ une langue, même là où le plurilinguisme est un atout, peut-il être considéré comme une life-skill (« je ‘sélectionne’ mes objectifs linguistiques pour mon propre avenir ») ? Comment gérer la tension qui peut résulter de l’écart entre une nécessité didactique ou un désir d’inclusion linguistique de la part de l’école et les sensibilités individuelles des apprenant·e·s ?

Des mots qui font école ? c) Rejet [Podcast]

L’école est un lieu où l’on apprend, mais elle peut être aussi un lieu où l’on peut refuser d’apprendre. Quels sont les facteurs sous-jacents au rejet de l’apprentissage des langues ? ‘Mettre de côté’ une langue, même là où le plurilinguisme est un atout, peut-il être considéré comme une life-skill (« je ‘sélectionne’ mes objectifs linguistiques pour mon propre avenir ») ? Comment gérer la tension qui peut résulter de l’écart entre une nécessité didactique ou un désir d’inclusion linguistique de la part de l’école et les sensibilités individuelles des apprenant·e·s ?

Des mots qui font école ? a) Norme [Podcast]

Chaque jour, en tant que locutrices/locuteurs et apprenant·e·s d’une langue, nous sommes confronté·e·s à des structures linguistiques plus ou moins canoniques, acceptées ou conformes à une norme. Le concept de norme linguistique à l’école fait-il peur ou rassure-t-il ? Quelle est sa relation avec le concept de variation ? Comment la norme – et l’écart par rapport à la norme – est-elle traitée dans les écoles des différentes régions linguistiques en Suisse ? Le recours de plus en plus fréquent à des approches plurilingues dans le domaine de la didactique des langues peut-il modifier l’idée de norme et sa perception ?

Enseigner le vocabulaire en français langue seconde

En Suisse, de plus en plus d’élèves apprennent le français en arrivant à l’école. Ainsi le français est à la fois objet et moyen d’apprentissage disciplinaire. L’apprentissage du vocabulaire est un aspect de la langue qui peut permettre de faciliter la communication et l’accès à la construction des savoirs. Lors d’une journée de formation continue organisée à la HEP Fribourg, nous nous sommes demandés comment accélérer le développement du vocabulaire en français langue seconde.

Trois questions à une didacticienne [Entretien]

Les formateurs et formatrices des hautes écoles pédagogiques sont souvent à la fois impliqué·e·s dans la recherche et l’enseignement. Ces différents rôles impliquent une réflexion constante sur les liens entre la théorie et la pratique ainsi que les besoins de communication entre les différents acteurs et actrices de l’enseignement. Le CeDiLE s’est entretenu, en allemand, avec Stephanie Möckli (HEP de Fribourg) sur ce riche quotidien de formatrice.

Intégrer le langage préfabriqué dans la classe de langue étrangère : pourquoi et comment ? [Podcast]

« Y trouver son compte » ; « c’est ça » ; « avec grand plaisir » ; « pendre une décision » : voilà des expressions bien pratiques pour la communication quotidienne, mais qui représentent un défi pour l’acquisition et l’apprentissage des langues étrangères et secondes. Dans ce podcast, Fanny Forsberg Lundell (professeure de français à l’Université de Stockholm, en Suède) nous introduit à cette thématique et nous propose également des idées d’application didactique concrètes.