Certaines personnes encouragent le langage inclusif, d’autres le refusent. Faut-il et peut-on sensibiliser aux questions liées au genre (social) dans l’enseignement des langues tout en développant la réflexion métalinguistique ? Dans quelle mesure cette sensibilisation constitue-t-elle un objectif concret dans les programmes scolaires, dans les manuels pour tous les niveaux ? Quelles pratiques langagières inclusives peuvent ou doivent être enseignées à quels groupes d’apprenant·e·s ?